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DENT de SAGESSE

Exprimer et faire circuler de l'énergie info. sous différents angles

C’est le corps qui le dit, pas la tête

C’est le corps qui le dit, pas la tête

Est-ce que le « jeu » finit une fois qu’on s’est réunifié ?

Le « jeu » commence quand on s’est réunifié, ou le jeu finit, ça dépend de là où tu regardes. Depuis le point de vue d’ici, tu pourrais dire qu’il est fini, et puis du point de vue de celui qui se sera réunifié, et bien ce sera le début d’une grandiose aventure.

Recommence-t-on une « partie » juste après ?

Ce n’est pas la même, c’est un système fractal. Là, aujourd’hui, où tu viens de prendre conscience que tu étais la cellule d’un Dieu plus grand, tu vas redevenir ce Dieu plus grand. Quand tu seras redevenu ce Dieu, tu t’apercevras que tu es la cellule d’un autre. Mais on jouera d’autres aventures. Ce sont d’autres niveaux de fréquences, donc des niveaux de jouissance qui n’ont rien à voir. C’est organisé en fractales, cela n’a ni début ni fin

 

 

fractale

fractale

Les fractales sont utiles pour nous représenter certaines réalités identiques à différents niveaux, comme pour les poupées russes. Il y a aussi l’hologramme qui peut être une notion utile pour décrire la réalité, notamment pour expliquer que chacun de nous est l’univers et qu’un changement en nous-même influe sur tout l’univers.

Effectivement, nous sommes des êtres holographiques. Comme chaque cellule de ton corps a la structure complète

L’émotion a donc un rôle essentiel dans notre incarnation. Elle nous permet donc, en la vivant, de délivrer tous nos « moi souffrants » ?

Nos « moi souffrants », nos « moi bloqués », nos « moi joyeux », ce ne sont que des fréquences qui n’ont de forme que lorsqu’on les perçoit. Ça reste du monde de l’illusion. Si l’on veut contempler le réel, les émotions ne sont que des fréquences, qui agissent comme des clés libérant d’autres fréquences. On touche une émotion, on a besoin de vibrer une certaine tonalité qui, lorsqu’elle est vibrée, met en branle des énergies stagnantes ou collées qui vont donc se remettre à circuler. C’est juste de l’énergie cherchant à circuler qui appelle des solutions intelligentes pour que cette énergie continue de circuler.

Ensuite, on raconte des « formes » parce que nous fonctionnons ainsi. L’émotion est une « clé vibratoire » permettant de remettre en circulation l’énergie. Nous nous racontons des histoires. Si par exemple je te raconte l’histoire de la sorcière : « on frappe à sa porte, on l’emmène sur la place du village et on la brûle ». Quand j’énonce cela, ça déclenche chez tout le monde une certaine onde vibratoire, une certaine fréquence. Si j’ai un vécu par rapport à ça, donc de l’énergie stagnante ou bloquée, cela va entrer en résonance. Et si je vis cette émotion, si je choisis de vibrer cette clé vibratoire, cela va délivrer l’énergie bloquée collante ou stagnante relative. Ça ne veut pas dire que l’histoire de la sorcière est réelle, on s’en fiche, en fait, de savoir si la vie simultanée est vraie ou non, ce qui compte c’est : qu’est-ce que le corps va ressentir ?

Lorsque je suis en stage, je raconte l’histoire de la « sorcière » au groupe. Ceux qui se mettent à éclater en sanglots dans la seconde, c’est leur corps qui est en train de réagir.

Ceux chez qui ça ne bouge pas, ça ne bouge pas. C’est une autre histoire qui les fera bouger. L’histoire n’est pas réelle, ce qui est réel c’est l’énergie stagnante autour de ça. Pour savoir si on a le droit de pleurer, on croit toujours qu’on doit avoir une preuve, c’est-à-dire que, pour savoir si l’on a le droit de ressentir une émotion, on doit la justifier : « moi, je ne peux pas pleurer parce que je n’en sais rien si j’étais vraiment la sorcière ou non ». Mais ça ne marche pas ainsi. Quand tu entends l’histoire, elle t’attrape ou non.

C’est le corps qui le dit, pas la tête

Franck Lopvet _ Un Homme debout

C’est le corps qui le dit, pas la tête
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