Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
DENT de SAGESSE

Exprimer et faire circuler de l'énergie info. sous différents angles

Drôle de journée

je pose ici, cette anecdote, qui ne concerne que mon personnage, en toute simplicité

Drôle de journée

Drôle de journée !

J'épaule un peu, actuellement le déménagement d'un de mes proches, d'où le sourire quant au carton de Jeff Foster.. ce qui m'a permis de retrouver un meilleur matelas pour mon lit, mais qu'il a fallu transporter, installé etc.. tout en gérant au tél. une rage de dent de sagesse... (faut l'faire !), d'une jeunesse de ma tribu, et plus, en surveillant quand même des billets d'humeur à mon encontre sur le net ..

le domaine émotionnel, me chatouillait sévèrement, et j'ai profité d'un moment d'attente, pour laissé le gonflement lacrymal, s'étaler à l'aise

ayant souffert du sentiment d'être 'incomprise', (la victime)  j'ai vite appris et admis, il y a des années de çà, que en fait, c'est moi-même, qui ne me comprenait pas. Mais la drôle d'histoire, c'est que personne ne pouvait m'arrêter de dire, ou d'écrire, mes trucs, tels qu'ils se présentaient.

Ce blog m'a beaucoup aidée, pour découvrir mes fonctionnements, sans que je me permette de concessions. J'ai vu que je me causais sans arrêt à moi-même, comme le p'tit bonhomme du dessin, seulement je le fais à haute voix LOOL, et que finalement c'était un bon début d'Action en Amour !

Et là, aujourd'hui, je jurais la Vie, en lui disant, çà suffit, ce machin, marre et marre NA !

Et comme chacun sait, l'énergie, fait le noeud, on pose çà sur l'autel de son coeur, on laisse faire, et lentement, le calme revient, avec le sourire

Alors j'ai rouvert 'un Homme debout' voir ce que je me disais à travers çà, et je vous laisse, sourire, comprendre ou non, peu importe. çà s'est ouvert sur les pages 90 , en voici quelques morceaux, que j'ai apprécié, sachant très bien que chacun entendra çà à sa façon, et que mon son de cloche, ne sera jamais que le mien.

Luceffa

 

Que je comprenne ou pas la scène au premier abord, je sais

toujours - et je sais d’expérience parce que j’ai assez de

vécu - que chaque chose qui est apparue dans ma vie a toujours été une bénédiction. Toujours, même si sur le moment

elle me faisait hurler, de douleur, de rage, de colère, de ressentiment. Tout ce qui est apparu dans ma vie a toujours

été une bénédiction.

Et chacun ne peut s’exprimer que

depuis sa structure et depuis sa propre vérité

Mais je m’adresse aux gens honnêtes. Je n’ai pas envie de

« baratiner » les gens qui ne veulent pas comprendre. Tant

qu’ils veulent continuer à jouer les victimes, à être « les

gentils » tandis que les autres sont « des cons », ils peuvent

continuer leurs vies sans moi et sans mon livre. Je m’adresse

à ceux qui sont de bonne foi. Dans le sens de : « avoir réellement envie de se connaître »

Car le fait de devoir justifier nos émotions nous emmène à créer des scènes

qui vont avec

La question de « l’homme debout »,

ce n’est pas de devenir un surhomme. C’est simplement de

se mettre à remplir l’air autour de soi de « la joie d’être soi »,

de ne pas avoir besoin de devenir autre chose pour devenir

acceptable à ses propres yeux. De ne pas avoir besoin de devenir quelque chose « d’exceptionnel », de ne pas chercher à

« vaincre » la Vie, de ne pas chercher à passer « au-dessus »

de la Vie. J’ai l’impression que beaucoup de questions que

tu me poses sont liées à la spiritualité dans la perspective de

« devenir plus grand grâce à la spiritualité »

On veut absolument « évoluer » et « devenir », alors que

c’est quelque chose qu’on ne peut pas contrôler

On ne peut « que » se mettre dans une position d’acceptation des mouvements, une acceptation de l’impermanence,

de non contrôle. Il n’y a que ça qu’on puisse réellement faire

utiliser la spiritualité pour dire « j’ai découvert qu’il y avait

l’existence d’autres forces », et vouloir se mettre à les

contrôler, c’est du « gogo spirituel ». C’est l’impasse dans

laquelle se sont engouffrés tous les gens du new-age. On

prend conscience qu’il y a autre chose que l’humain, que

nous sommes aussi des êtres de lumière. C’est ainsi qu’on

appelait ça à l’époque new-age. Alors on se met à vouloir

contrôler cet être de lumière, c’est-à-dire à se comporter

avec l’être omnipotent que l’on est comme avec l’humain

que l’on est. Je cherche à poser du contrôle sur ma Grande

Version comme sur ma petite version. Attention, je mets grande et petite pour la forme linéaire de

l’explication, mais c’est la même forme reproduite, il n’y en a

pas un qui est mieux que l’autre…

Est-ce que le fait d’avoir peur de tes souffrances, ou d’essayer de ne pas en avoir, a évité la souffrance dans ta vie ?

La souffrance est de « l’ignorance ». C’est ça qui se passe à

chaque fois. A chaque fois qu’on souffre, c’est parce qu’on

ne sait pas ce qui est en train de nous arriver. Après, il y a

la douleur physique, qui est en fait l’énergie qui cherche un

moyen de circuler par elle-même et qui force la guérison.

L’expérience de la maladie permet en fait la guérison. On

tombe malade parce qu’on est en train de guérir. La maladie est le symptôme de notre guérison.

Ensuite, il y a les événements qui surviennent dans ta vie

et qui peuvent générer de la souffrance. Et là, en fait, c’est

l’angle de vue avec lequel tu choisis de regarder qui crée

de la souffrance. C’est l’ignorance de ce qui est réellement

en train de se passer à une autre échelle qui crée de la

souffrance.

Et puis, il y a « l’expérience ». L’expérience, ça c’est la vie de

tous les jours. Il y a des gens qui choisissent tous les jours de

regarder leur vie comme étant des « victimes » et qui essaient

de justifier leur point de vue en étant victimes des autres.

Et puis, il y a ceux qui essaient de comprendre que ce

qu’ils regardent, c’est-à-dire la forme de leur vie, est

la simple expression de leurs mouvements intérieurs.

 

Quand la vie m’agresse, cela correspond à l’agression que

j’ai de moi vers moi à l’intérieur de moi.

Quand je tombe

sur des cons à tout bout de champ, c’est que je suis en

déni par rapport à ma propre « connerie intérieure ».

Quand je tombe sur des fachos, c’est parce que mon « fascisme intérieur » n’est pas reconnu. Et ainsi de suite, c’est

assez simple finalement. S’éloigner de la souffrance, c’est complètement vain, personne n’a jamais réussi à s’éloigner de la souffrance, c’est

justement une velléité de contrôle complètement fausse,

on ne peut pas y arriver ! Celui qui te dit : « je vais t’éloigner de la souffrance », est un menteur.

Un Homme Debout _ Frank Lopvet

 

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article